Gilles et John |
||||
Une tragédie moderne inéluctable |
||||
France, Paris, Villes, Ronds Points...2018-2019, XXI eme siècle Après JC, | ||||
Les personnages ou Casting : Emmanuel MACRON- Christophe CASTANER-Edouard PHILIPPE-Eric DROUET-Ingrid LEVAVASSEUR-Priscillia LUDOSKY-Jacline MOURAUD-Maxime NICOLLE-Benjamin CAUVHY-Laëtitia DEWALLE-Franck BUHLER-Marc RYLEWSKI-Etienne CHOUARD-Christophe CHALENÇON- La POLICE-L'ARMEE-Les MEDIAS- Trois CHOEURS : La FOULE-Les VICTIMES-L'OPINION !(la Bourse, le Parlement européen, la Mondialisation, Le Patronnat, Le Café du Commerce)- |
||||
Argument : | ||||
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
|
![]() |
Réponses |
26/04/2019 |
||
![]() |
Acte ? |
Le Monde |
21/04/219 |
|
Une analyse sur les origines du mouvement |
18/04/2019 |
|||
![]() |
Une présidence ignée |
l'incendie de Notre Dame de Paris, Macron sauvé par une Manifestation Divine, |
16 /04/ 2019 |
|
« Aujourd’hui, l’ordre républicain a été maintenu », s'est félicité le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, sur la sellette depuis un acte 18 marqué par un net regain de violences. Après avoir mené cette semaine une purge à la tête de la préfecture de police, l’exécutif avait promis la « fermeté » et annoncé le « renfort » de militaires, provoquant un tollé. | 24/03/2019 |
|||
« Nos consignes de fermeté ont été respectées », a estimé dans la soirée Christophe Castaner, lors d’une déclaration place Beauvau. indiquant que 233 personnes avaient été interpellées en France, dont 172 ont été placées en garde à vue. | Acte XIX |
|||
Environ 40.500 manifestants ont défilé en France, dont 5000 à Paris, pour le 19e samedi de manifestations. | ||||
Avec Didier LALLEMENT, le gouvernement poursuit deux objectifs. Un de très court terme: rétablir l’ordre dans la capitale dès ce samedi, pour l’«acte XIX» des gilets jaunes. Par la suite, il s’agira de réformer l’institution créée en 1800 par Napoléon, qualifiée «d’Etat dans l’Etat» pour ses pouvoirs et son autonomie gargantuesques. |
||||
Après les débordements, les violences et les pillages survenus à Paris à l'occasion du 18e samedi de manifestations des Gilets jaunes, le Président de la République a décidé de sortir les grands moyens. Les militaires de la mission antiterroriste Sentinelle seront en effet mobilisés de manière "renforcée" samedi prochain dans le cadre de l'acte 19 des Gilets jaunes. Le chef de l'État a décidé de faire appel à l'armée afin de protéger des bâtiments officiels et autres "points fixes". |
Les manifestations parisiennes ne seront pas, samedi, les seules méthodes d'action, comme l'a affirmé en début de semaine Eric Drouet, l'une des figures du mouvement, qui préconise désormais de bloquer les ports et les raffineries. D'autres manifestants ont, eux, prévu de retourner sur les ronds-points. |
Enfin le 30 mars, pour l'acte 20, un premier rassemblement sous forme "d'ultimatum au gouvernement" devrait être organisé à Toulouse et Eric Drouet a affirmé qu'il devrait bien être de la partie. |
||
En dépit de l'interdiction de manifester sur les Champs-Elysées, de nombreux appels ont été lancés sur Facebook pour envahir la plus belle avenue du monde. Sur une autre page du réseau social, nommée "Gilets Jaune acte 19: La guerre est déclarée", les manifestants sont appelés à se rendre directement au Palais de l'Elysée. |
A Nice, même si les manifestations de Gilets jaunes sont restées pacifiques depuis novembre, le gouvernement va interdire samedi les rassemblements dans un "périmètre défini", à la veille d'une visite officielle du président chinois Xi Jinping qui débutera sur la Côte d'Azur, a annoncé mercredi le maire LR Christian Estrosi. |
Publié le 20/03/2019 à 14:44 , mis à jour à 15:44 |
||
![]() |
![]() |
|||
![]() |
Acte XVIII |
16/03/2019 |
||
Acte XVII |
09/03/2019 |
|||
![]() |
Acte XIII |
09/02/2019 |
||
31 décembre 2018 |
||||
![]() |
||||
A la manifestation de la CGT : « Nous, ça fait des années qu’on fait des cortèges pépères et qu’on n’obtient rien » | 16/12/2018 |
|||
Primes de Noël : cadeaux pour certains, les boules pour les autres |
12/12/2018 |
|||
Le ministre de l’Intérieur et leader de l’extrême droite italienne Matteo Salvini lance un message à l’Union européenne et son refus du budget italien, selon il Giornale. “Vous voulez que l’Italie connaisse des scènes comme celles qui se déroulent à Paris ?”, a-t-il menacé. Il y a quelques jours, Matteo Salvini aurait affirmé, selon les médias italiens : “Macron n’est plus un problème pour moi ou pour l’Europe. Il est un problème pour les Français.” |
le 10/12/2018 - 17:53 |
|||
Sur Twitter, l’ancien chef d’État iranien Mahmoud Ahmadinejad a interpellé Emmanuel Macron en lui demandant “d’écouter les demandes et d’y répondre de la meilleure des manières”. Celui dont la réélection en 2009 fut contestée dans la rue, avec une violente répression à la clé, assure désormais qu’“aucun pouvoir ne peut s’opposer à son peuple”. |
le 10/12/2018 - 17:53 |
|||
Le président russe Vladimir Poutine a demandé aux “autorités parisiennes de s’abstenir de tout recours excessif à la force, conformément aux principes humanistes”. |
le 10/12/2018 - 17:53 |
|||
Le président américain Donald Trump a profité des manifestations du 8 décembre pour fustiger l’Accord de Paris sur le climat qui “ne marche pas si bien pour Paris”. L’hôte de la Maison-Blanche a par ailleurs assuré que des manifestants français chantaient “We want Trump” (“Nous voulons Trump”), “mais la vidéo correspondante avait été tournée à Londres”, relève CNN. Le ministre des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, a demandé à Donald Trump de ne pas se mêler de la politique interne de la France. |
le 10/12/2018 - 17:53 |
|||
Le président turc Tayyip Erdogan a “condamné les violences à Paris” et a accusé la police française “d’être coupable d’usage excessif de la violence”, rapporte Al-Araby. D’après le site d’information, il aurait poursuivi : “Les policiers de ceux qui ont tourné notre police en ridicule, qui les ont critiqués, qui ont affirmé que notre police était cruelle, regardez ce que fait leur police maintenant”. |
le 10/12/2018 - 17:53 |
|||
Dans son édition du lundi 10 décembre, le journal syrien pro régime Tishreen fait sa une sur les “1 723 personnes arrêtées durant les manifestations en France”. Le quotidien, soutien de Bachar El-Assad, explique qu’à Paris, “les chars sont dans les rues et les ‘gilets jaunes’ menacent Macron”. Une semaine auparavant, le 2 décembre, le journal de Damas fustigeait “le régime de Macron [qui] réprime des manifestants pacifiques”. |
le 10/12/2018 - 17:53 |
|||
Vêtement court, sans manches, boutonné devant et ne couvrant que le torse, porté par les hommes sur la chemise et sous la veste (et quelquefois par les femmes). | ||||
Prononc. et Orth. : [ʒilε]. Ds Ac. dep. 1762. Étymol. et Hist. [1664 gillet « sorte de camisole sans manches », cité comme mot maghrebin (J. de Thévenot, Relation d'un voyage fait au Levant, p. 553)]; 1736 (Mercure de France, mars ds Trév. : Quand la femme accosta Dom Baillimaître, [...] il n'avoit point de chemise, mais seulement un gillet). Empr., (avec substitution de suff. due à l'infl. de mots tels que corset*, mantelet*, etc. : cf. sicilien gileccu, cileccu, esp. chaleco, gileco, port. jaleco, etc.) à l'ar. maghrebin ǧalīka « camisole portée par les esclaves chrétiens sur les galères », lui-même empr. au turc yelek « camisole sans manches » (v. FEW t. 19, pp. 199-201). Fréq. abs. littér. : 1 085. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 1 290, b) 2 381; xxes. : a) 1 823, b) 1 140. | ||||
Depuis l’Italie, Matteo Salvini, le ministre de l’intérieur d’extrême droite en guerre ouverte contre Emmanuel Macron, n’a rien manqué du mouvement des « gilets jaunes » et de la contestation inédite qu’il exprime. « Macron n’est plus mon adversaire. Il n’est plus un problème pour moi. Il est un problème pour les Français », a tranché, mercredi 5 décembre, le Lombard. | 07-12-2018 |
|||
06-12-2018 |
||||
|
05-12-2018 |
|||
un internaute camerounais, Cabrol Bamou, doctorant en philosophie politique à l’université de Dschang, de rappeler, via le compte WhatsApp du Monde Afrique, qu’« il ne serait pas excessif de dire que le peuple de France parle à l’Afrique » et qu’« il importe que l’Afrique tire les leçons de cette crise. Pour les politiques : qu’ils sachent que le peuple n’est jamais acquis définitivement, qu’il n’est morose et terne que de manière sporadique. […] Au peuple africain : il importe de savoir qu’un mouvement peut se mettre sur pied sans avoir besoin de l’onction d’une quelconque élite. Il importe pour les Africains de savoir que la cause commune est largement supérieure aux petits arrangements réduits à notre stricte individualité. » |
05-12-2018 |
|||
D’autres internautes renvoient eux à 2011, lorsque Michèle Alliot-Marie, alors ministre des affaires étrangères de Nicolas Sarkozy, avait proposé de fournir au gouvernement de Ben Ali le savoir-faire de la France en matière de maintien de l’ordre. Et proposent à leur tour l’expertise tunisienne en matière de répression des manifestations… Par ailleurs, dans les palais de plusieurs capitales africaines, certains s’étonnent de la « mollesse » des autorités : « En France, vous n’avez ni armée, ni police pour dégager tout ça ? Qu’ils rafalent ces imbéciles et tout rentrera dans l’ordre », propose ainsi un conseiller d’un président ami de Paris. |
05-12-2018 |
|||
« C’est fini Paris », ont publié certains internautes, avec en arrière-plan des images de pneus brûlés sur les Champs-Elysées. Une référence au titre d’un article de Libération en 2015, « C’est fini la Tunisie, c’est fini le tourisme », qui avait fait polémique (il s’agissait en réalité d’une citation d’un guide touristique local). |
05-12-2018 |
|||
à Ouagadougou, une directrice d’agence de communication manifeste un sentiment d’étonnement à l’idée que « ceux qui veulent nous corriger et nous surveiller ne sont pas du tout en mesure de le faire chez eux ». |
05-12-2018 |
|||
A Bamako, des messages humoristiques circulent sur WhatsApp. « Bamako suit avec une attention particulière la crise qui sévit à Paris, appelle les différentes parties au respect des valeurs de liberté d’expression et condamne les actes de violence. Nous appelons les différentes parties à la retenue et au dialogue », signait un Malien, le week-end dernier, provoquant l’hilarité. « Sinon, nous allons intervenir militairement », a même répondu un autre, lundi soir. Un ton diplomatique plein d’humour qui n’est pas sans rappeler les messages, cette fois-ci authentiques, envoyés par la France aux autorités de Bamako lors des différentes crises qui ont secoué le Mali dernièrement. |
05-12-2018 |
|||
![]() |
![]() |
01-12-2018 |
||